Entre l’optimisme suscité par la Réserve fédérale et les inquiétudes ravivées par Oracle, les investisseurs oscillent. La Fed a relevé ses prévisions de croissance tout en abaissant celles d’inflation, renforçant la confiance dans l’économie américaine et annonçant par ailleurs une injection de liquidités via l’achat d’obligations en janvier. Mais la publication décevante d’Oracle, avec un chiffre d’affaires cloud inférieur aux attentes et des dépenses en intelligence artificielle toujours plus lourdes sans impact immédiat sur les résultats, a provoqué une chute du titre et semé le doute sur la rentabilité future.














